Succès sportifs

Succès sportifs

C’est pour plusieurs raisons que, dans l’univers du water-polo, Waneek Horn-Miller se démarque des autres. Voici quelques-uns des faits saillants de sa carrière : en 1999, elle a été élue joueuse par excellence de l’équipe féminine de water-polo du Canada après leur victoire aux Jeux panaméricains, à Winnipeg. Cette même année, elle a reçu le prix Tom Longboat qui récompense les athlètes autochtones pour leur contribution remarquable au sport au Canada.

Waneek Horn-Miller tenant sa médaille de bronze remportée aux Championnats du monde aquatiques de 2001 à Fukuoka, au Japon.
Gracieuseté de la Fondation canadienne des relations raciales

En 2000, elle a été nommée co-capitaine de l’équipe féminine de water-polo du Canada aux Jeux olympiques à Sydney, en Australie, faisant partie de l’histoire en tant que première femme mohawk du Canada à participer à des Jeux olympiques. En 2010, Waneek Horn-Miller a été l’une des porteuses de flambeau lors du relais des Jeux olympiques d’hiver à Vancouver. En 2015, elle a servi à titre de chef de mission adjointe aux Jeux panaméricains et elle a été nommée l’une des femmes les plus influentes en sport par l’Association canadienne pour l’avancement des femmes et du sport (ACAFS). En 2019, elle a été intronisée au Panthéon des sports canadiens.

Waneek Horn-Miller lors des célébrations d’intronisation du Panthéon des sports canadiens en 2019. Elle a été une des premières récipiendaires de l’ordre du sport créé par le Panthéon des sports canadiens.
Gracieuseté du Panthéon des sports canadiens

Après sa carrière en compétition, Waneek Horn-Miller, ayant acquis une expérience de taille durant la crise d’Oka, a consacré sa vie à combattre le racisme qui sévit encore au Canada à l’endroit des personnes autochtones. Elle continue également à militer et être un modèle à suivre pour les jeunes autochtones de partout au pays.

Waneek Horn-Miller est l’une des athlètes les plus influentes au Canada, travaillant sans relâche afin d’inspirer la prochaine génération d’athlètes autochtones.
Gracieuseté du Panthéon des sports canadiens